Les brèves du samedi 23 septembre
Les brèves du samedi 23 septembre
La novillada du 22 septembre
- Azuqueca de Henares. Novillos de Torrehandilla et erales de Fuenterrobles pour Alejandro Peñaranda silence, oreille Rubén Nunez silence, silence Cid de Maria 2 oreilles, oreille Ángel Otero silence, silence
Toros à la télé ce samedi
- (17:30) 23 septembre. Consuegra. Toros et Novillos de Alcurrucén pour Raúl Rivera, Álvaro Lorenzo, Villita. Lien d’accès ➡️ (CMM)
- (17:45) 23 septembre. Sahagún. Novillos de José Enrique Fraile de Valdefresno et Castillejo de Huebra pour Manuel Martín, Mario Navas, Pepe Luis Cirugeda. Lien d’accès ➡️ (CYL TELEVISION)
Arles décerne ses prix
La CTEM d’Arles a décerné ses prix pour la temporada 2023 qui sont les suivants :
- Matador triomphateur : Daniel Luque
- Meilleur lot de toros : Jandilla
- Novillero triomphateur en piquée : Yon Lamothe
- Meilleur novillo piqué : Blohorn
- Rejoneador triomphateur : Guillermo Hermoso de Mendoza
- Novillero sans picador triomphateur : néant
- Meilleur lot de becerros : Jalabert
- Coup de cœur de la C.T.E.M : Clemente
- Médaille de la ville : Marc Marion
Les despedidas de Lopez Chaves et Juli à Salamanque
L’un s’est coupé la coleta , l’autre faisait ses adieux à Salamanque, résumé vidéo (images BMF Toros) de cette double despedida.
Les finalistes du Certamen « Camino Hacia Las Ventas«
Les trois novilleros ont été proclamés vainqueurs lors de la demi-finale tenue vendredi à Moralzarzal et se disputeront le prix dans les arènes de Madrid le 11 octobre prochain, il s’agit de Álvaro Serrano, Sergio Rollón et Mariscal Ruiz,
Madrileño, de Vellosino, désigné “Toro de Oro” de la feria de Salamanque
Ce toro lidié le 10 septembre par Miguel Angel Perrera a été indulté par ce dernier.
Les traditions camarguaises en danger
Comme pour la tauromachie espagnole, la camarguaise repose sur deux piliers, les courses dans les arènes et celles dans les rues. Ces dernières qui sont un élément essentiel dans la transmission de la Culture Taurine, font vivre 35 manades. Abrivado et encierros font aujourd’hui de plus en plus l’objet de déclarations de sinistres auprès des assureurs qui rechignent à couvrir ces spectacles. La loi, qui date de Napoléon, rend responsable le manadier de tous les accidents. Les éleveurs ont de plus en plus de mal à s’assurer.
Des pratiques nouvelles, et pas très taurines, telles que les baches, amoncellements de cartons, fumigènes sont à l’origine d’accidents de plus en plus nombreux en particulier pour les cavaliers. Pour ce qui est des « piétons » on a oublié le bon sens de nos parents qui demandaient la plus élémentaire prudence. Tout est bon aujourd’hui pour récupérer quatre sous auprès des assurances. Les manadiers se sont réunis et épaulés par le sénateur Burgoa ont décidé de monter au créneau , il en va de la survie de leur activité.